Zone
Amerique

Amerique

Depuis la IX Assemblée Générale (2014), la Congrégation a été structuróe en Zones géographiques.

Pérou

Les debuts de la Compagnie Missionnaire dans horizon étendu et encourageant des missions au Pérou. Les PP Passionistes, ont besoin de la collaboration des Soeurs Missionnaires pour s’installer à Lagunas, ville située sur la rive droite de la rivière Huallaga et qui étáit fréquentée par deux missionnaires passionistes. Les soeurs sont arrives à Lagunas le 12 mars 1951. À cette date, le district de Lagunas comptait environ 8 000 habitants, dont 80% de Kukamillas et 20% de Métis et de Riverains En arrivant, les soeurs sont frappées par l’ignorance religieuse qu’elles trouvent chez les gens. École, internat, dispensaire, visites aux familles et Catéchèse étaient leurs premières activités auxquelles elles se sont consacrées, cœur et l’âme. L’expérience leur a montré les différences remarquables entre la nouvelle ville et le district central qui aurait besoin des approches différenciées. Bientôt, les sorties apostoliques ont commencé. En 1952, des visites à ARAHUANTE pour les soins médicaux, plus tard, on leur a demandé l’éducation et la formation religieuse. En 1973 le contact avec les Muratos de la rivière NUCURAY a comencé. La première vocation péruvienne à la Compagnie était Angelica Arce Rodriguez, 19 ans. Elle est décédée dans l’année 2018.   Dans la décennie des 80, les institutions éducatives de Lagunas augmentaient, les services de santé étaient entre les mains du ministère. Dû à cela, les sœurs ont été invitées à réfléchir sur notre permanence ou non dans cette Mission. La décision était prise de laisser Lagunas et la mettre à disposition du Vicariat. Le 23 et 24 Janvier, 1987 deux journées en hommage POPULAIRE DE SATISFACTION ont eu lieu pour les 36 ans de présence des sœurs à Lagunas.

Les communautés

RESTRUCTURATION AU PÉROU : Le besoin d’une planification réaliste est resté latent jusqu’au VIII A.G. a proposé une RESTRUCTURATION et a lancé le processus. Le Gouvernement Général a apporté son aide en fournissant du matériel et des techniques appropriées. Jusqu’à ce qu’en janvier 2017, à Lima, ils atteignent la phase finale.

Communauté de HUAMPAMI
La Compagnie Missionnaire est présente à Huampami depuis 1971. De nombreuses sœurs font partie de l'histoire au service des ethnies Awajún et Wampís.

De nombreuses années de dévouement dans le domaine de l'éducation, de la santé et de la formation des agents pastoraux. De nombreux liens de fraternité ont été créés avec les gens, qui savent que les sœurs sont là parmi eux et pour eux.

Nous prenons soin de la communauté chrétienne et nous participons très activement à l'organisation du village. Toujours dans le domaine de l'éducation, nous travaillons aujourd'hui sur un programme d'école secondaire rurale de l'UNESCO au Pérou, "Horizontes", qui est soutenu par le Vicariat. L'objectif est de permettre aux adolescents de terminer leurs études secondaires, de renforcer leurs compétences socio-émotionnelles, leur identité individuelle et leur citoyenneté interculturelle.

Nous travaillons également dans le domaine des droits de l'homme de la pastorale sociale du vicariat de Jaén, en coordonnant, avec d'autres institutions, des activités et des ateliers dans diverses communautés indigènes.

COMMUNAUTÉ DE MACAYA - PUCALLPA
Cette nouvelle présence dans "LA PAZ" est du chemin commencé en communauté en 2012, dans le cadre du processus de restructuration de la région du Pérou. Aujourd'hui, c'est un nouveau champ de mission au sein de l'Église, pour servir les populations qui migrent vers la périphérie des villes à la recherche de plus grandes possibilités, mais qui trouvent aussi des besoins et des problèmes encore plus grands.

Depuis 2016, nous nous sommes installées dans un quartier périphérique de l'invasion appellé la Paz. La majorité de la population sont des indigènes de l'ethnie Shipibo-Konibo et un grand nombre de familles viennent de Macaya où nous avons vécu de 1977 à 2015. Pour l'instant, la communauté se rend périodiquement à Macaya selon un programme établi en début d’année.

Depuis notre arrivée, et en tenant compte de notre objectif, nous nous consacrons à rendre visite à nos voisins métis et à ceux des établissements humains et des communautés Shipibo-Konibo qui habitent ici.

Depuis le COVID, elles gèrent une cuisine populaire où une centaine de plats préparés sont distribuées chaque jour, un groupe de femmes s’organise pour préparer à tour de rôle et l'une d'entre elles assure la coordination.

Nous participons à la communauté chrétienne lors de la célébration dominicale et d'autres activités de la paroisse, et nous participons à la formation des séminaristes dans la phase propédeutique du séminaire inter-vicariale de Pucallpa.

Communauté de Barrio Florido
Nous sommes à la mission de Barrio Florido depuis 2017. Elle est située au milieu de la forêt, au bord de l'Amazonas, village situé à une heure de la ville Iquitos, avec un accès par la rivière et par la route s’il ne pleut pas trop. Il y a plusieurs communautés autochtones que nous pouvons visiter en motocyclettes et d'autres avec des bateaux ou des pirogues, les distances sont courtes. Il y a des groupes ethniques Boras, Kukamas, Witotos, avec leurs différentes branches, certaines n'ont jamais été visitées.

Elles travaillent avec des groupes d'indigènes qui luttent pour préserver leur identité, et répondent aux défis de la population, etc.

La communauté collabore à la formation et à l'organisation des communautés chrétiennes dans le Barrio Florido et dans plusieurs villages environnants. À l'école secondaire, elles encadrent les professeurs qui donnent les cours de religion. Elles appartiennent à la Paroisse de San Pedro Pescador d’Iquitos où elles collaborent avec le prêtre de la paroisse dans la formation des animateurs pastoraux.

À Iquitos, une sœur accompagne un groupe d'une vingtaine de femmes qui pratiquent la réflexothérapie dans les différentes paroisses. Elles le font avec beaucoup d'intérêt et de dévouement et le vivent comme un ministère de guérison.

Lima

La nécessité d’avoir une maison à Lima a été ressentie par les missionnaires de Lagunas et de Nieva. À cette époque, tous les services de l’État étaient concentrés dans la capitale. Le 8 février 1955, l’expédition des quatre fondatrices de la Maison-Procure de Lima arrive au port de Callao. Le 9 mars 1955, elles ont commencé à travailler aidées de quatre jeunes femmes et deux médecins bénévoles. Au fil du temps, une grande amitié s’est développée entre les médecins et les sœurs et ils sont devenus de grands collaborateurs et membres de «l’Association des Amis de la Compagnie Missionnaire», née en juin 1959. Les Pères Augustins offrent à la Compagnie Missionnaire, la Direction de la Section Infantile de leur École à Lima. Offre qui a été acceptée. À partir de 1961, la Communauté de Lima, a accompli un double objectif: Prendre en charge la Section Infantile et répondre aux besoins des communautés et des missions de la forêt à travers la Procure. Les soeurs était engagées aussi dans la pastorale vocationnelle et attention, aussi, au groupe nombreux « Amis de la Compagnie ». Pendant quelque temps c’était, aussi, maison de formation pour les premières étapes. L’idée d’avoir deux communautés à Lima, flottait dans l’air.

Les communautés
Communauté des Sœurs Aînées de Palau
C’est la communauté des sœurs âgées et malades. Leur vie nous parle de dévouement joyeux, de vocation missionnaire vécue pleinement, d'attente joyeuse dans le Seigneur de la vie.
Communauté d’Accueil de Fiori:
La mission principale de cette communauté est d'accueillir les sœurs qui viennent à Lima pendant les vacances, la retraite spirituelle, l'assemblée annuelle, la formation et le contrôle médical. Elles s’occupent d’apprêter la maison pour les sœurs qui ont besoin de passer par Lima pendant l’année. Aussi le service de l’administration de la zone.

Cette communauté est très active dans le quartier, dans la paroisse et dans d'autres activités pastorales, comme la pastorale des prisons. La relation avec les gens, la proximité avec les voisins, la familiarité avec les laïcs de la Compagnie Missionnaire, etc. Toute sa vie est un véritable témoignage de vie fraternelle.

Laïques de Perou

Des laïques se rendent à l’un des lieux de mission où sont les soeurs au Pérou. Elena Mamani nous partage son expérience  « J’ai participé très animée et avec grand intérêt à la dernière réunion de l’année de la communauté laïque de la Compagnie Missionnaire. Je me suis sentie plus identifiée comme laïque de la Compagnie Missionnaire parce que je crois que nous nous intégrons de plus en plus et, surtout, que nous avançons dans notre perspective missionnaire: jusqu’à présent, nous transmettons nos propres expériences de façon individuelle pour faire connaître le charisme de la Compagnie, mais à partir de maintenant, quelque chose de nouveau s’est ouvert dans notre projet en tant que communauté missionnaire laïque: nous participerons à la mission d’apostolat en communauté dans des lieux de mission spécifiques. Cela me satisfait, m’encourage. Je sens que je grandis de plus en plus dans cette dimension missionnaire de la Compagnie pour donner de l’amour, du service, de la donation, et des prières à mon prochain.

 

Delia Door, a passé quelques semaines dans l’une de nos communautés, à San Lorenzo (Datem del Marañón) et partage ce qu’elle a vécu.
« Je suis partie de Tarapoto à San Lorenzo en avion, le 4 octobre 2017. J’avais un peu peur, mais je me suis mise entre les mains du Seigneur ; le voyage dans l’avion était fantastique, voir la splendeur de toute la forêt, la rivière Marañon.

J’ai été reçu par la Sœu. qui m’a ramené à la maison en moto. Le même jour, j’ai rencontré Margarita Cárdenas, une laïque de la Compagnie, qui appartient à l’ethnie Shawi. Une jeune femme très dévouée à sa mission.
J’ai également visité le Musée San Lorenzo, à l’initiative de la Sœur. María Dolores Garcia, où vous pourrez voir tout ce qu’elle a collecté au fil des années sur les mythes, rites et légendes de la culture Shawi.

Le mardi, nous sommes allés à La Unión. C’est un endroit très pauvre mais lorsque nous sommes entrées dans les maisons et avons parlé avec les familles, elles étaient remplies de joie de nous voir et nous avons partagé la parole de Dieu. J’ai également visité l’internat et l’école interethnique.

HAITI

Le 18 février 2002, nous sommes arrivées à l’aéroport de Port-au-Prince. Les gens à l’extérieur s’étaient mutinés parce que le président n’avait pas tenu sa promesse. Haïti avait reçu le don d’une grande quantité de riz, libre d’impôts pour les pauvres, mais le riz était vendu, y compris la taxe. C’était la réalité du pays et nous y sommes arrivées dans ce contexte. Le mercredi 27, nous sommes parties pour Bombardopolis avec notre curé. Nous avions commencé à apprendre le « kreyol ». Les après-midi, nous étions accompagnées par des jeunes qui nous apprenaient des chants. Nous visitions, tous les trois, les familles, ce qui nous a permi de connaître les gens, qui nous recevaient et partageaient généreusement le peu qu’ils avaient. Ici, les gens vivent de la Providence; il y a des moments où il est impossible de faire quelque chose à cause du manque d’eau ou d’éléments nécessaires. L’œcuménisme est palpable dans la vie quotidienne, la relation qui existe avec les autres églises est très significative. Notre maison est une maison d’accueil, nous vivons, vraiment l’universalité, car étant ce lieu si fermé et dépourvu de services de base, nous accueillons d’autres personnes qui viennent fournir un service: médecins, ONG, Observateurs de l’Union européenne … et cette expérience est très significative pour les uns et les autres. Nous distribuons de la nourriture dans 7 écoles pour leurs cantines scolaires …Nous améliorons la qualité de vie, des bourses pour les étudiants, des citernes d’eau, des arrangements des maisons … Dès 2002 à 2017, la communauté de Bombardopolis a travaillé avec joie et dévouement dans cette mission. Mais, en raison du manque de personnel, nous avons dû quitter en avril 2017. Et, maintenant, notre présence en Haïti continue dans la communauté de Port-au-Prince

Les communautés
Communauté de Port au Prince
L'une des conclusions du processus de restructuration en Colombie est l'ouverture d'une autre mission en Haïti, à Port-au-Prince. Le 4 mars 2014, nous arrivons à Port-au-Prince. Nous sommes situés dans un secteur très éloigné du centre-ville qui a commencé à se former après le tremblement de terre de 2010. À cette époque, il existe déjà de nombreux quartiers villageois, mais avec une infrastructure de services très médiocre.

Notre maison est située dans le village « Colombie », qui compte 72 autres maisons réalisées par la même corporation. La première étape est l'insertion pour apprendre la langue, connaître la culture et la réalité économique, politique, socioculturelle et religieuse du peuple haïtien.

Le vaudou est une religion pratiquée par de nombreux Haïtiens.

Aujourd'hui, nous avons un groupe d'Enfance Missionnaire, elles amènent la communion avec les malades. Nous enseignons dans une école du quartier et soutenons les enfants des écoles primaires avec des bourses, nous rendons visite aux familles.

Nous formons des jeunes femmes haïtiennes désireuses de se donner au Seigneur dans la Compagnie Missionnaire.

La population haïtienne fait preuve d'une capacité d'endurance face à la souffrance, à la violence, à la faim extrême, à l'injustice et à la corruption des riches et des hommes politiques. Ces dernières années, les quartiers ont été aux mains de bandits lourdement armés, les épisodes de crimes, massacres, enlèvements et insécurité se sont multipliés dans tous les quartiers de Port-au-Prince et ont conduit le pays au déclin total.

LA COLOMBIE

La présence de la Compagnie Missionnaire du Sacré Cœur de Jésus, en Colombie, nous met immédiatement en harmonie avec ses habitants de la côte Pacifique, en particulier avec les Afro-Américains et les peuples autochtones. Des groupes humains qui avec leur expérience nous ont donné la profondeur de l’âme de leur race et le sens communautaire de la vie. En Février 1965, la première maison de la Compagnie est ouverte en Colombie, à l’Hôpital pour enfants de la Croix-Rouge de Medellín, comme un point de soutien pour nous étendre aux missions de ce pays. La première communauté est formée par cinq soeurs travaillant déjà dans les missions du Pérou. En 1968, la mission de Docordo est fondée, couvrant une extension d’environ 3 000 km2, avec une trentaine de villages et une population de quelques 6000 habitants. Les gens de Docordó, sont afro-américains. Le travail réalisé était à l’école, au dispensaire, dans des différents villages de la région, internats pour les indigènes et cour de radio aussi pour eux. Le 14 janvier 1972, des sœurs sont arrivées pour s’établir de façon permanente à Pichimá, une mission des indiens Waunana. L’alphabétisation des adultes était une tâche qui demandait du dévouement. Une coopérative d’artisans a été créée, moyen privilégié pour l’émancipation des femmes. En 1973 commence une communauté à Orpúa, mission d’afro-américains, et après Buenaventura, Callelarga, Guapi…

AUJOURD’HUI
Communauté de MEDELLIN

Le 24 septembre 1971, les sœurs ont déménagé dans une nouvelle maison située dans le quartier deLas Violetas. Depuis lors, la maison est, maison régionale, pour les sœurs âgées et malades.

Chacune des sœurs selon ses possibilités, réalise la pastorale dans la paroisse dans les différentes activités et dans les autres quartiers de Medellín:

Les sœurs accompagnent des groupes, soutiennent la catéchèse générale Avec des groupes, soutenir la catéchèse générale, accompagnent aussi des familles, des groupes de prière, de formation chrétienne, elles visitent les malades, conseillent, réconfortent et encouragent les personnes qui souffrent. Elles essayent de faire tout à le style de Jésus.

Communauté de GUAPI
Communauté du Vicariat de Guapi dans la zone pacifique de la Colombie, sur les rives de la rivière Guapi. Ses habitants sont afro-américains. Sur ce territoire, il existe deux groupes illégaux (ELN et FARC) qui luttent pour le contrôle des rivières et s'affrontent constamment partout et à tout moment. C’est la situation dans laquelle nous vivons. Des jeunes sont morts dans des affrontements ou ont été tués parce qu'ils étaient d'anciens guérilleros. Beaucoup de tristesse et beaucoup de questions avec une attitude de prière face à cette réalité. Cette année, en raison de la situation de violence, nous n'avons pas pu visiter les villages de las veredas où se trouvent « los comedores » comme d'habitude. Une autre œuvre forte de Guapi est le projet pour les enfants handicapés. Deux fois par semaine, nous allons en prison et le mercredi il y a un cours d'alphabétisation pour un petit groupe de trois détenus.
Communauté de BUENAVENTURA
Notre maison est située dans le quartier de Nayita.

La réalité de nos âges avancés, avec leurs limites de santé respectives, n’enlève pas notre espoir de vivre et de travailler ensemble, rendant le Royaume présent parmi nos frères.

Buenaventura est une ville de grands conflits sociaux, générés par la violence, le manque d'opportunités et la paupérisation des personnes qui vivent dans un port riche en richesses.

Générateurs de paupérisation et de violence : Trafic de drogue. Groupes armés hors la loi. Ceux réinsérés qui continuent de commettre des crimes. La police abuse de son autorité et viole les droits de l'homme. Clientélisme politique. Chômage. Violence domestique. Déplacés. La prolifération des sectes.

Notre tâche missionnaire est de s’occuper de la chapelle du quartier,distribuer des colis alimentaires, des visites aux familles et aux groupes de personnes âgées. Nous accompagnons les patients et leurs familles au sein de l'association CVS en « partageant différentes compétences » : promouvoir globalement les personnes en situation de handicap. promouvoir la responsabilité active de chacun d'eux et de leurs familles dans la société et dans l'Église. Nous offrons des opportunités de croissance personnelle et sociale à travers : la formation, la réadaptation et le travail.

LAÏQUES DE GUAPI

Nous sommes un groupe de femmes laïques, amies unies dans la foi et dans l’amour du Sacré-Cœur de Jésus. Un amour qui a été encouragé et découvert par l’approche que beaucoup d’entre nous ont eu avec les différentes sœurs de la Compagnie Missionnaire.

Partager la vie et les évènements avec les sœurs a fait qu’au fil des années, chacun d’entre nous, Laïques de la Compagnie Missionnaire du Sacre Cœur de Jésus, nous avons la certitude de la grandeur de l’Amour du Sacré-Cœur manifesté dans chacun de ses enfants.

C’est l’amour pour les nécessiteux qui nous a tous fait tomber amoureux de cette Grande Mission que la Compagnie.

Cet Amour nous a fait trouver les mots et les actions précises et nécessaires pour partir en mission, en commençant par nos maisons, les lieux où nous travaillons et la communauté en général. Aider à l’amélioration de l’habitat de quelques personnes nécessiteuses. A partir du programme de personnes handicapées nous avons visité les familles, ce qui nous a permis de connaître une réalité autre et nous a ouvert de nouveaux horizons pour nous donner dans d’autres domaines. D’autre part, depuis de nombreuses années, un apostolat est exercé dans la prison municipale

LAïQUES DE MEDELLIN

LAÏQUE DE BUENAVENTURA